Een kleine extract uit het boek van Verdin:
[Il n’en fallait pas plus pour réveiller le commandant d’escadrille D. B. et son SRPJ de Reims qui était sur mes « andos », en effet, X. S., le frère de Thierry S., avait un capteur, et nous écoutions l’équipe de D. B, j’étais prévenu, il fallait faire attention. Ce qui est in- téressant quand tu sais que tu es fliqué, c’est de découvrir leur façon de travailler.
Alors, le soir, le « Gavroche » fermé, avec des jumelles infra- rouges, je m’installais devant les carreaux toute lumière éteinte et je regardais les inspecteurs en train de faire les planques.
D. B., le commandant du SRPJ, n’avait pas digéré que deux coupables soient en liberté et que l’un d’entre eux se gave. Oui, pour D. B., nous étions coupables de l’assassinat de Michel Piro.]