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Van het Franstalige forum:

J'ai connu un Claude Dubois qui avait un garage rue Vanderkinderen à Uccle et qui vendait des DeTomaso et Shelby Cobra... Est-ce ce Claude Dubois là ou un autre?

Je pense que c'est peut-être le même. Claude Dubois a été condamné récemment aux assises de Bruxelles pour avoir découpé de manière très professionnelle (il a fait l'école de boucherie et fréquenté les abattoirs d'Anderlecht...) l'amant de sa compagne. Il l'a balancé en plusieurs morceaux dans le canal à Anderlecht. Il n'était pas à son coup d'essai, ayant tué de la même façon une femme en 1983 qu'il avait jeté dans la Meuse à Beez. Ce n'était pas une prostituée selon mes infos mais l'épouse d'un actuaire de la Zurich Assurance.

Claude Dubois s'était approprié l'argent qu'elle avait été cherché avec lui à Luxembourg (on peut plus faire confiance à personne...). C'est un témoignage de Ronald Rossignol qui lui a permis d'échapper à la Justice namuroise. Il a donc été rattrappé par ses mauvaises habitudes plus de 20 ans plus tard... mais il y a prescrition pour le premier (?) crime. Compte tenu de son âge, il devrait pratiquement terminer ses jours en prison. C'est tout le bien que je lui souhaite.

Son arrestation a eu lieu rue de Vanderkinderen (près de la place du même nom) dans un garage où j'ignore si l'on vendait des 'De Tomaso'.

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Le Champlain, Vanderkinderestraat 422

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En de Santana van Waver was het waard dat men hem deed spreken. Omstreeks 22u30 werd de in brand staande wagen teruggevonden langs de Drève des Tumuli, vlak achter het ziekenhuis César de Paepe in Watermaal-Bosvoorde. De valse nummerplaten van de Volkswagen waren een exacte kopie van die van een Santana toebehorend aan een bewoner van de Leon Vanderkinderestraat in Ukkel.

Meer » Waver

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Adres verleden Jean-Marie Tinck:

  • Ukkel, Vanderkinderestraat, van 12 mei 1977 tot 13 mei 1982, chique appartement.

  • Ukkel, Vanderkinderestraat, van 2 mei 1983 tot [onbekend], chique appartement.

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» leiden.courant.nu | leiden.courant.nu | leiden.courant.nu

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Uit het staatsblad:

Par jugement du 8 décembre 2005, le tribunal de commerce de Mons a prononcé la cloture de la faillite, par insuffisance d'actif, de la société Société de Services belge-Fleurs S.A., en abrégé SSB Fleuralice, dont le siège social est sis à 7301 Hornu, rue de la Fontaine 49, R.C. Mons 134998, B.C.E. 0458.039.839, et a déchargé  le curateur, Me Etienne Descamps, de ses fonctions.

Est considéré comme liquidateur: M. Georges Herbint, domicilié à 7301 Hornu, rue de Bavay 199.
Pour extrait conforme: le greffier, (signé) B. Delmoitie. (40245)

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(643 replies, posted in 1983)

Waarom zijn de daders via de 'hoofdingang' gegaan? Via deze weg moesten ze minstens 200 meter stappen, Was de achterzijde van de fabriek niet rustiger? (Vb. de Piet Nutenlaan waar ze hun voertuig minder opmerkelijk konden opstellen, moesten dan ook een stuk minder ver stappen om het fabriekterrein te bereiken). Kan dit wijzen op een zwakke of zelfs geen voorbereiding alvorens het plegen van de feiten? Niet-professionele ingesteldheid?

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(98 replies, posted in Onderzoeksdaden)

Het antwoord is te vinden in » Glabais: Camping La Cala wink

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Artikels uit archives.lesoir.be:

L'enquête parlementaire sur le banditisme
Les pistes de Termonde et l'ex-gendarme Lekeu

Reprise des auditions, mercredi, à la commission parlementaire d'enquête sur le banditisme et le terrorisme avec les gens de Termonde, le juge d'instruction F. Troch et le substitut W. Acke, deux mois après l'audition inutile du commissaire général de la P.J. Roger Moens qui déclencha le conflit entre le Législatif et le Judiciaire et souleva les questions des compétences des commissions d'enquête au regard de la séparation des pouvoirs. Les réticences du juge Troch ont été compensées par les réponses du substitut Acke sur les pistes actuellement suivies, dont l'une passe par l'ex-gendarme Martial Lekeu parti depuis 1984 aux Etats-Unis.

Sans s'en prendre directement à l'enquête de Nivelles, le juge Troch confirme que le dossier de Tamise (l'attaque meurtrière de la fabrique de gilets pare-balles en septembre 1983), avait été traité par Nivelles d'avril 1984 à septembre 1985 puis était revenu à Termonde sans qu'une seule pièce ait été ajoutée au dossier. De là à dire qu'on n'avait rien fait à Nivelles pendant dix-huit mois dans cette enquête...

Ronquières: c'était voulu... En outre, c'est bien en relisant les procès-verbaux de Nivelles qu'un des enquêteurs du groupe Delta de Termonde apprit qu'on avait vu jeter des sacs dans le plan d'eau de Ronquières, après la tuerie d'Alost en 1985 et que Nivelles s'était borné à n'y faire plonger qu'un seul homme pendant deux heures, sans résultat. Sur base d'informations venant de la bande De Staerke au sujet d'armes dans le canal, Termonde utilisa en novembre 1986 des techniques de plongée allemandes permettant un ratissage large et retrouva ainsi les armes et d'autres objets provenant des tueurs.

"Les pièces d'armement reliaient indubitablement toutes les affaires dites du Brabant. Le commissaire Reyniers vous a dit que nous avions laissé sécher les armes et ainsi perdu l'occasion de relever d'éventuelles empreintes. M. Reyniers sait tout après mais jamais avant. Ces armes étaient restées un an dans l'eau, elles étaient rouillées et pleines de boue. On nous avait dit que les empreintes pouvaient être relevées sur des armes encore mouillées, mais pas sur des armes rouillées. Je n'aime pas la façon qu'a M. Reyniers d'avancer des choses. Il a profité de cela pour se décomplexer devant votre commission parlementaire. Ce n'est pas correct. A propos de ces armes, mon impression est qu'on les a sciemment rassemblées, qu'on a sciemment mis dans le même sac le morceau de gilet pare-balles de Tamise et le baby-coffre de la tuerie d'Alost. Il est possible qu'on ait jeté tout cela pour qu'on le trouve, mais ce n'est pas certain puisque sans la relecture des P.-V. de Nivelles, elles y seraient sans doute encore..."

Le juge refuse de donner son explication des tueries, d'envisager l'hypothèse d'un plan de déstabilisation, celle d'un "cerveau" qui aurait utilisé une ou plusieurs bandes et peut-être De Staerke. Il se borne à dire qu'il a des éléments suffisants dans le dossier d'Alost pour envoyer De Staerke aux assises. Le nom de l'ex-gendarme Lekeu apparaît bien depuis quelques mois dans le dossier de Tamise. Après l'expérience avec Bultot au Paraguay, le juge ne croit plus à l'utilité d'envoyer une commission rogatoire en Floride pour n'obtenir sans doute de Lekeu que la répétition de ses propos publiés dans La Dernière Heure.

Moins avare de précisions, le substitut Acke confirme que le nom de l'ex-gendarme Lekeu est bien apparu il y a quelques mois dans le dossier de Tamise et dit que ce que craignaient les enquêteurs s'est produit: la publication des déclarations de Lekeu complique la suite de l'enquête. M. Acke ajoute que le rapport des gendarmes Bihay et Balfroid, de la B.S.R. de Wavre, sur les connexions éventuelles des tueurs avec des trafiquants internationaux de stupéfiants et d'armes (qui donna lieu à leurs mutations...), et d'autres rapports de Bihay impliquant Lekeu étaient crédibles. Encore des documents passés d'abord par Nivelles...

Comme le juge Troch, il estime que le groupe Delta de Termonde (27 hommes à l'époque, 10 aujourd'hui appartenant à la PJ et à la gendarmerie) s'était soudé par la base et fonctionnait bien mieux que la task force de Bruxelles. Pour le juge Troch, cette task force était un pigeonnier, une cellule paralysée par les gradés, par le syndrome des étoiles et des chevrons. Delta suit donc encore des pistes qui présentent des connexions avec d'autres pistes suivies à Charleroi, avec le dossier Mendez à Nivelles et avec des dossiers instruits à Bruxelles. Patrick Haemers, l'ennemi public n°1, n'est pas au nombre des suspects pour les enquêteurs de Termonde. Mais le substitut Acke refuse d'en dire plus. C'est prématuré, il faut encore entendre de nombreuses personnes, faire des perquisitions puis établir le bilan, dit-il.

Clairement les deux magistrats estiment que tout est à revoir en matière d'expertises, qu'une «banque des armes» serait un outil précieux, que pour les enquêtes compliquées le recours à des «groupes intégrés» (PJ, gendarmerie et polices communales parfois) s'impose. Ceux qui vous disent qu'à leur avis les enquêtes n'aboutiront pas sauf par hasard, tranche encore le juge Troch, ceux-là prononcent la faillite du système. Si l'on n'a pas encore compris...

Freddy Troch, le juge de Termonde en passe d'être aujourd'hui dessaisi, rappelait notamment que son dossier de Tamise, traité à Nivelles d'avril 1984 à septembre 1985, en était revenu sans qu'une seule pièce ait été ajoutée. Que des informations venant de la bande De Staerke, confirmant d'autres informations déjà contenues dans des procès-verbaux de Nivelles, finirent par le conduire à Ronquières où il retrouva des pièces d'armement rassemblées, probablement déposées sciemment, qui reliaient indubitablement toutes les affaires dites du Brabant. Sa cellule d'enquête «Delta» suivait certaines pistes connexes à celles de la cellule de Jumet, connexes à d'autres auxquelles menaient aussi les dossiers Mendez et Haemers, même si ce dernier ne figurait pas en personne dans la liste des suspects du juge. Ceux qui disent qu'à leur avis les enquêtes n'aboutiront jamais, sauf par hasard, prononcent ainsi la faillite du système, concluait-il.

Bron: Le Soir | Rene Haquin | 10 mars 1989

Alain Moussa deux jours en cavale

Pendant la nuit de dimanche, Alain Moussa, 38 ans, l'un des membres de la bande de Philippe De Staerke condamnée à de lourdes peines il y a deux ans à Gand pour une longue série de hold-up, a réussi à scier les barreaux de sa cellule, à l'institut de défense sociale de Tournai. L'homme avait disparu quand les gendarmes et les pompiers sont arrivés pour éclairer le préau où l'on croyait pouvoir le récupérer.

Le tribunal de Termonde avait renvoyé vingt-trois prévenus en correctionnelle, parmi lesquels sept étaient absents, dont l'ancien directeur de prison Jean Bultot, à l'époque déjà installé au Paraguay. Le parquet de Termonde reprochait à la bande une vingtaine d'agressions à main armée ainsi que des vols de voitures (des BMW), de matériel video, d'alcool et de cigarettes.

Philippe De Staerke, considéré comme le chef de la bande, a également été inculpé dans le cadre de la tuerie de novembre 1985 au Delhaize d'Alost. Il y aurait en effet été vu cet après-midi-là, arrivé à bord de la voiture d'Alain Moussa. Mais, devant les maigres indices recueillis contre lui, la chambre du conseil de Termonde avait fini par lever le mandat d'arrêt décerné dans le cadre de ce dossier.

C'est par ailleurs dans le cadre de l'enquête du juge d'instruction Troch sur la bande de Baasrode que le magistrat obtint, en 1986, une petite information sur des armes «chaudes» abandonnées quelque part au fond d'un canal, dans la région de Ronquières. Cette information fut recueillie dans l'entourage de Moussa et d'un coïnculpé, Nicolas Karasilis, et permit, on s'en souvient, la découverte en novembre 1986 des deux sacs contenant les restes des armes utilisées pour les tueries du Brabant.

Après sa condamnation, Alain Moussa avait obtenu d'être interné provisoirement et se trouvait ainsi depuis plusieurs mois à l'hôpital psychiatrique de Tournai. Mais on a appris hier soir que sa cavale avait déjà pris fin: Alain Moussa a été repris hier après-midi dans l'agglomération bruxelloise...

Bron: Rene Haquin | 31 Oktober 1990

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dolorean wrote:

I.v.m. het profiel, hoe verschrikkelijk ze ook tekeer gingen met Jos en Linda, er was toch één dader die een beetje mens bleef wanneer ie omging met driejarig meisje, ze hadden even goed het kind alleen kunnen laten, de diefstal doen en vertrekken.

Ouders koelbloedig afmaken, nog wat 'bewerken' en dan hun kindje wat snoep geven. Lijkt me eerder een 'ziekelijk trekje' dan menslievendheid.