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Re: Jean Bultot

Wat ik mij afvraag is of Jean Bultot familie is met Philippe Bultot MR politieker in regio Namen, maar geboren in Charleroi?

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Re: Jean Bultot

Een mij onbekend verhaal: de postzakken van Jean Bultot » YouTube

"Le monde est dangereux à vivre! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire." Volg ons via » Facebook | twitter | YouTube

Re: Jean Bultot

Was mij ook onbekend. Heb je een idee van de datum van dat journaal?

Re: Jean Bultot

Wie zou die persoon uit Tervuren geweest zijn?

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Re: Jean Bultot

Merovinger wrote:

Was mij ook onbekend. Heb je een idee van de datum van dat journaal?

17 maart 1990.

"Le monde est dangereux à vivre! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire." Volg ons via » Facebook | twitter | YouTube

Re: Jean Bultot

Dat van die postzakken staat in het eerste boek van Guy Bouten, maar er staat niets in het boek van het WNP-lid in Tervuren. Kan dit niet Libert zijn? Dit is ook kort na de moord op Bruno Vandeuren.

De waarheid schaadt nooit een zaak die rechtvaardig is.

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Re: Jean Bultot

J. Lagasse de Locht uit Tervuren, maar pas op: dat was geen WNP-lid! Het hele verhaal hieronder:

"Quand Jean Bultot était au Paraguay, il avait mis au point une filière pour échanger du courrier avec Adriano Vittorio, dont le voisin Simon Genevois était actif dans la mouvance d’extrême droite. Philippe Populier, résidant à Alsemberg, était envoyé par l’avocat Henri Laquay auprès de Feret, le président du FN et lui expliqua ceci: "mon père est Jacques Populier, il a deux sociétés de transport dénommées France Transit et Transit International sises à 59700 Marcq en Baroeuil. Mon épouse Alexandra Leiva a de la famille haut placée dans la société des Postes Paraguayennes. Le courrier de Bultot passera en sécurité et arrivera à destination chez Vittorio".

Bron: Pere Ubu

Une arrestation à l'arrivee des barages rapatries du Paraguay par Jean Bultot?

[...] On a aussi appris vendredi qu'en marge de la saisie la semaine dernière à Bruxelles de bagages de Bultot revenus du Paraguay, un pseudo-journaliste a été longuement interrogé et vient d'être placé sous mandat d'arrêt... [...] On apprend enfin que des bagages de Bultot, réexpédiés du Paraguay et parvenus la semaine dernière à Tours et Taxis à Bruxelles ont été saisis par les autorités judiciaires: ils contenaient notamment des photocopies de pièces provenant d'enquêtes sur les tueries du Brabant et sur la mort de Latinus. C'est, semble-t-il, en rapport avec cette saisie qu'un Bruxellois qui se présentait depuis trois ans comme journaliste, a été placé vendredi sous mandat d'arrêt. L'an dernier, des documents judiciaires avaient déjà été saisis à son domicile.

Bron: René Haquin | 17 mars 1990

A Soweto, Bultot se rit de la saisie: j'ai l'essentiel ici Bultot d'Afrique du SUd après la saisie des bagages: Pas grave

Il nous l'a dit dimanche par téléphone: Jean Bultot n'est pas très ému par la saisie il y a une semaine de ses bagages arrivés par bateau du Paraguay, pays que l'ancien directeur adjoint de la prison de Saint-Gilles a quitté fin novembre pour l'Afrique du Sud où son extradition a été demandée la semaine dernière. Plusieurs perquisitions ont été effectuées chez des proches tandis que, vendredi, le juge d'instruction Bruno Bulthé inculpait de recel de documents et arrêtait Jacques Lagasse de Locht, un pseudo-journaliste, après la découverte dans les bagages de Bultot de la photocopie d'une lettre «personnelle et confidentielle» du procureur de Nivelles Jean Deprêtre au ministre de la Justice Melchior Wathelet, et d'un mot d'accompagnement écrit par le jeune Lagasse.

«Jacques Lagasse de Locht a été l'un des nombreux informateurs qui, de Belgique, me téléphonent ou m'écrivent, nous dit Bultot. Cette lettre du procureur Deprêtre au ministre Wathelet, j'en ai eu plusieurs exemplaires, et je me demandais si celui que m'avait envoyé Lagasse était une vraie copie ou un faux. Le reste de ce qui a été saisi n'est pas important: il y a je crois vingt kilos de coupures de presse et, peut-être, un dossier relatif à l'attaque de l'armurerie Dekaise à Wavre en 1982. «J'ai d'autres documents. Je signale que je n'ai jamais reçu de dossier que m'aurait envoyé Adriano Vittorio (un des membres de la filière boraine jugés à Mons en 1988), mais que j'ai bien reçu un dossier que m'avait envoyé un des enquêteurs de la cellule de Jumet.

Ce dossier, je l'ai avec moi, ici, à Soweto. Et j'ai encore des documents beaucoup plus importants.» Les albums de photos saisis sont des souvenirs personnels, avec notamment des photos de mon voyage à New York avec mon amie Dominique Meersch, avant mon départ pour le Paraguay. Dans mes bagages se trouvent aussi des livres et la raquette de tennis de mon fils, des peaux d'animaux, une machette...» Les bagages envoyés par Bultot contenaient des colis postaux à acheminer vers deux adresses à Ixelles, chez une cousine de la compagne de Bultot (partie avec lui et leur fils au Paraguay en janvier 1986), et à Watermael-Boitsfort (chez son amie Dominique Meersch). Toutes deux ont été perquisitionnées et entendues par la PJ. Des documents ont été saisis lors d'une autre perquisition chez Jacques Lagasse à Tervueren. [...]

Bron: René Haquin | 19 mars 1990

Jean Bultot à Soweto: Pub, amour et ennuis

[...] A la mi-mars, le juge d'instruction Bruno Bulthé a fait saisir à Bruxelles les bagages de Bultot, expédiés en novembre par bateau du Paraguay. Il a inculpé de recel de documents et placé sous mandat d'arrêt un jeune homme (trop) curieux, Jacques Lagasse de Locht, après la découverte dans les bagages de photocopies de deux lettres (une du procureur général de Bruxelles au procureur du Roi de Nivelles sur l'affaire Latinus, une autre du procureur de Nivelles au ministre de la Justice sur la commission parlementaire d'enquête) envoyées par Lagasse à Bultot.

Le jeune homme, qui se dit journaliste, refuse de révéler ses sources, ce qui lui vaut d'être en détention préventive. Les enquêteurs ont également saisi chez le jeune Lagasse de nombreux enregistrements de conversations, notamment des entretiens téléphoniques avec Bultot. Dans les bagages de Bultot, ils ont découvert une sorte d'autobiographie de l'ancien directeur adjoint en fuite, dans laquelle il mêle sa vie aventurière, ses ennuis et des considérations sur l'extrême droite et sur le grand banditisme, notamment sur les tueries du Brabant. [....]

Bron: René Haquin | 10 avril 1990

Un autre mois de prison pour Lagasse de Locht

Arrêté le mois dernier, après la découverte dans les bagages (éventrés) de Bultot de documents d'origine suspecte, parmi lesquels du courrier du procureur du Roi de Nivelles, le jeune Jacques Lagasse de Locht reste en prison [...] Pourquoi, depuis 1987, à l'époque du procès du double assassinat de la rue de la Pastorale, a-t-il investi tout son temps dans la recherche des tenants et des aboutissants des affaires qui touchaient à la Sûreté, au WNP, à Latinus, aux tueries, à Bultot et compagnie? Par envie de devenir journaliste, ou agent secret, ou détective? Pour tenter sa chance comme chasseur de primes? Ou bien quelqu'un a-t-il poussé (et payé?) le jeune homme à s'introduire dans ces milieux particuliers, durs, souvent cyniques, que sont les services de sécurité, les polices, la magistrature?

Il est étonnant d'observer avec quelle facilité les plus hautes autorités lui ont ouvert des portes qu'elles n'ouvrent pas toujours aux journalistes professionnels. Lagasse a rassemblé ainsi de nombreux documents qui l'an dernier déjà lui valurent une perquisition. Pourquoi Lagasse a-t-il voulu nouer aussi un contact épistolaire et téléphonique privilégié avec l'ancien directeur de prison Jean Bultot, au point de lui faire parvenir, au Paraguay, copie d'une lettre de 1986 du procureur général, qui demandait au procureur de Nivelles, Jean Deprêtre, d'obtenir un non-lieu dans le dossier du suicide de Latinus (récemment rouvert)?

Pourquoi avoir envoyé à Bultot, copie de la lettre «personnelle et confidentielle» du procureur Deprêtre au ministre Wathelet, désobligeante pour la commission parlementaire d'enquête? Ce sont notamment ces lettres, découvertes le mois dernier dans les bagages de Bultot rapatriés du Paraguay, qui ont conduit Lagasse en prison. Il refuse de révéler comment il est entré en leur possession. Le procureur Deprêtre avait déposé plainte pour le vol du second courrier, mais un non-lieu est intervenu dans cette affaire. Les documents envoyés par Lagasse ne seraient que des retranscriptions du contenu des lettres. S'il n'y avait pas vol, pourrait-il y avoir recel? [...]

Bron: René Haquin | 19 avril 1990

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Re: Jean Bultot

En terwijl nog even dit; over de (valse) link via Houssière naar Bultot:

Extrade, Bultot est à Forest pour parler et être rejuge

[...] Or, Jean Bultot se souvient d'un détail troublant: il avait perdu - ou on lui avait volé - son portefeuille et tous ses papiers au début octobre 1985 dans un snack, le Non Stop, à Ixelles, géré par une ancienne hôtesse du club Le Jonathan. Ce détail est confirmé à Saint-Gilles, où Bultot obtint un duplicata de carte d'identité, délivré le 11 octobre 1985. Les documents découverts un mois plus tard au bois de la Houssière pouvaient donc avoir été pris dans ce portefeuille.

Pour le reste, les multiples déclarations de Bultot faites par téléphone, du Paraguay ou d'Afrique du Sud, peuvent signifier qu'il a encore des "révélations" à faire ou qu'il n'a plus grand-chose à ajouter aux accusations sans preuves lancées contre Jean Gol, la Sûreté, des magistrats ou contre son ancien copain Bouhouche. Il confirmera aussi avoir reçu par courrier au Paraguay des photocopies de pièces judiciaires expédiées par le jeune Jacques Lagasse (qui a été détenu au printemps pour ces faits). Comme il dira avoir bien vu à Asuncion à deux reprises, fin septembre 1989, l'ex-gendarme Beijer, en fuite après l'agression meurtrière commise avec Bouhouche chez le Libanais Suleiman à Anvers. [...]

Bron: René Haquin | 15 december 1990

Re: Jean Bultot

Als ik me goed herinner is die "Mozsnake" zijn eigen blog, waarop hij na het gelekte 'confituurfilmpje' zijn onschuld wou bewijzen.

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Re: Jean Bultot

In het boek op de Mozsnake blog vertelt Bultot uitgebreid over z'n bootje, dat vermoedelijk nooit meer de zee heeft gezien na aankoop. Dat 'maritiem spoor' loopt dus dood m.i. Ook nog even vermelden: wanneer Bultot z'n eerste schietclub begint in Brussel, dan komen daar heel wat mensen uit het Antwerpse op af, met name ... diamanthandelaars.