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Topic: Jean-Claude Estiévenart

Klopt het dat er gisteren in de krant stond dat er iemand zelfmoord gepleegd heeft in zijn cel. Ook deze persoon is gelinkt geweest aan de bende van nijvel.

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Re: Jean-Claude Estiévenart

Jean-Claude Estiévenart, een ex-verdachte in het onderzoek naar de Bende van Nijvel, heeft zich zondagnacht opgehangen in zijn cel. De man moest gisteren normaal gezien voor het assisenhof in Bergen verschijnen op betichting van roofmoord. Estiévenart was in 1988 een van de leden van de Bende van de Borinage, een stelletje marginalen dat op grond van vervalst bewijsmateriaal in de beklaagdenbank terechtkwam als zijnde dé Bende van Nijvel.

Nieuws » Jean-Claude Estiévenart pleegt zelfmoord in cel

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Re: Jean-Claude Estiévenart

Toevallig net nu de Bende terug wat meer in de media-aandacht krijgt. En het was dus iemand die in staat is om te moorden.

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Re: Jean-Claude Estiévenart

club_le-happy-few wrote:

Toevallig net nu de Bende terug wat meer in de media-aandacht krijgt. En het was dus iemand die in staat is om te moorden.

Zoek er maar niets achter. Die man was al 62 en wist dat hij waarschijnlijk levenslang ging krijgen voor zo'n zinloze en gruwelijke moord. Hij had absoluut geen behoefte om tot zijn dood in de gevangenis te blijven zitten. Je zou van minder depressief worden en zelfmoordneigingen krijgen.

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Re: Jean-Claude Estiévenart

Akkoord, maar jammer genoeg weer iemand die misschien iets wist naar de eeuwige jachtvelden.

Re: Jean-Claude Estiévenart

Jean Claude Estiévenart en Kaçi Bouaroudj:

http://3.t.cdn.belga.be/picture:37768406:preview:watermark?m=bgbmkmfd

Re: Jean-Claude Estiévenart

http://nsm08.casimages.com/img/2014/03/13/14031310384514738712063084.jpg

Re: Jean-Claude Estiévenart

Uit een krantenartikel:

In februari 2006 werd Estiévenart opnieuw aangehouden, nu op betichting van moord op Michaël Noël, zijn enige vriend. Noël was in zijn woonst in Boussu beroofd van een van zijn schamele bezittingen - een decoder - waarna zijn flatje in brand werd gestoken.

Vraag: is dit de Noël die door een forumlid wordt aangeduid als kopstuk van de Bende van Nijvel?

Re: Jean-Claude Estiévenart

Des soubresauts et des spasmes agitaient le dormeur mais Estiévenart mangeait sans s'en soucier.

"Le dormeur" is de met valium verdoofde Noël. Bizar toch, dat eten terwijl een ander aan het lijden is. Komt naar voor in een aantal andere oude dossiers, een onopgeloste moord in Anzegem waarvoor een aantal Beckers door assisen zijn vrijgesproken en doet me ook denken aan de moord op Vanden Eynde.

Waar zouden de daders zich hebben te goed gedaan aan reebok en taart? In de keuken? Of in de slaapkamer? In een artikel over de Beckers las ik een soort gezegde: mangez vos morts. Luguber.

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Re: Jean-Claude Estiévenart

Des coups de feu à Hornu: la filière boraine resurgit

Inculpé dans les tueries du Brabant, l'auteur des tirs, Jean-Claude Estiévenart avait été acquitté en 1988.

Coups de feu, samedi à l'aube, sur le parking du dancing Le Boléro, rue de la Corderie, à Hornu. C'est le petit matin. Un homme veut entrer dans l'établissement voisin de l'ex- Punch. Il s'en voit refuser l'entrée, brandit une arme de poing dont il fait usage sur les portiers. Hospitalisés, ceux-ci sont heureusement hors de danger.

L'auteur des coups de feu n'est autre que Jean-Claude Estiévenart. Agé de 54 ans, il est un des membres de ce qu'on appela naguère la filière boraine ... Inculpé dans les années '80 dans le cadre des tueries du Brabant wallon, Estiévenart allait être acquitté par le jury populaire en mai 1988. Dans la foulée, il allait être condamné pour de petits braquages.

Samedi, l'homme a donc fait usage d'une arme à feu à l'entrée d'une discothèque. Les autorités judiciaires observent un mutisme complet, tout en accordant à l'événement, le plus haut intérêt... Samedi à la mi-journée, en effet, le juge d'instruction Pierre Pilette se rendait sur le parking de la discothèque hornutoise, accompagné de la substitute M me Gabriel, du médecin légiste, M. Prignon, de membres de la PJ de Mons et de la gendarmerie de Boussu.

Lors de son arrestation, Estiévenart a notamment été blessé à la face et à un oeil. D'abord admis aux urgences du Centre hospitalier régional de Warquignies, il a été transféré à St-Gilles. Affaire judiciaire, murmurait-on à l'hôpital, sans autre commentaire. Mandat d'arrêt décerné? Pas de commentaire...

L'affaire a été mise à l'instruction auprès de M. Pilette. Même si Jean-Claude Estiévenart n'avait pas encore pu répondre de son geste, ce dimanche, devant le Parquet, un mandat d'arrêt était toutefois requis...
On ne peut s'empêcher de penser à la filière boraine.

Comme MM. Cocu, Vittorio et les autres, Estiévenart a été blanchi par la justice. La justice continue à s'intéresser de près à Michel Cocu, en l'interrogeant régulièrement. Depuis ce samedi, elle s'intéresse peut-être aussi sérieusement aux blessures par balles portées par Estiévenart. On a en effet pu constater que les enquêteurs accordaient la plus haute importance aux traces des impacts de balles tirées sur les portiers. Douilles, balles, seront sans doute soumises à analyses auprès de la cellule Brabant wallon de Jumet. Pour ouvrir une porte... quitte à la fermer. La suite de l'enquête devrait révéler si les faits dépassent le simple fait divers.

Bron: Le Soir | Gisèle Maréchal | 5 juli 1999

Une arme restée dans l'ombre

Dans l'histoire des tueries du Brabant, jamais l'enquête judiciaire ouverte à Nivelles, après l'arrestation des Borains à l'automne 1983, n'a pu faire toute la lumière sur les transactions relatives à l'achat et à la vente du fameux pistolet Ruger, déposé à l'époque par Josianne De Bruyne à la gendarmerie. L'arme était passée des mains de Jean-Claude Estiévenart, qui l'avait acquise au temps où il vivait avec Josianne De Bruyne, à celles de Michel Cocu, sans que les enquêteurs aient pu en suivre la trace.

Le pistolet Ruger de Cocu avait-il tiré lors de l'attaque de septembre 1983 (trois tués) au Colruyt de Nivelles? L'expert de l'époque était affirmatif. A l'inverse de la Bundes Kriminal Amt (DKA) de Wiesbaden. Devant ces rapports contradictoires, lors du procès aux assises de la filière boraine (1988), les jurés du Hainaut avaient acquitté tous les membres de la filière boraine, y compris Jean-Claude Estiévenart qui fut condamné pour port, détention et trafic d'armes.

Depuis 1988, on n'avait plus entendu parler de lui. Il avait ouvert, avec un autre acquitté de la "filière", Bourajoudj, un bistrot sur la route de Bavay, à l'enseigne de... "La filière"... Estiévenart revient dans l'actualité avec une arme de poing utilisée pour tirer sur une discothèque, à Hornu. La cellule d'enquête sur les tueries du Brabant la comparera à celles qui ont fait l'objet d'analyses balistiques dans l'enquête sur les tueries du Brabant.

Bron: Le Soir | René Haquin | 5 juli 1999

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