Het stilzwijgen van de onderzoekers vind ik op zich geen slechte zaak. Er is al meer dan genoeg over dit dossier uitgelekt.

Wat eveneens geldt voor Libert, Beijer, Bultot en nog heel wat anderen. Ergerlijk dat sommigen, zelfs ervaren journalisten, hen nog ernstig nemen ook.

Ik hoop dat hij Libert, Beijer en Ginlo ook van het forum flikkert...

Jacques, dernier témoin de la piste suisse de la Tuerie du Brabant: "Nicolas Lebon me disait qu’il avait fait des choses en Belgique"

Dans l’affaire des tueries du Brabant, Jacques, qui vit à Phnom Penh, est le dernier témoin de la fameuse piste suisse ouverte par la profileuse Danièle Zucker.

Fin 2009, c’est la piste qu’on n’attendait plus dans l’enquête des tueries du Brabant. Les enquêteurs la nomment "la piste suisse". Mais, le chef d’enquête Lionel Ruth s’étant fait débarquer début 2010, elle n’ira guère plus loin, en dépit des résultats, interpellants, nous dit-on, d’une expertise ADN effectuée à Gosselies par les laboratoires bio.be.

Cette piste suisse cible un Belge qui semble avoir quitté précipitamment la Belgique dans les années 1985 quand l’enquête a commencé à s’intéresser à lui. Nicolas Lebon a pu passer des années sous les radars, jusqu’à ce qu’une profileuse, Danièle Zucker, ressorte la piste qu’on avait oubliée pendant vingt ans.

Sur commission rogatoire belge, Nicolas Lebon est entendu à deux reprises à Delémont (Suisse). Après quoi, lui qui menait une vie si tranquille quitte la Suisse pour s’établir en Chine, en Turquie puis au Cambodge, où il a trouvé la mort fin 2013, emportant ses secrets, s’il en avait.

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